C’est un mantra qui ne l’a jamais quittée. Donner du sens à ce qu’elle entreprend.
Sans diplôme, Sandrine Benizri Canal est jeune quand elle
affronte le marché du travail pour la première fois. Des petits boulots.
Puis une rencontre, et surtout une preuve de confiance, la mettent sur
le chemin du conseil en formation. Un poste qu’elle occupe sept ans
durant au sein d’un organisme de formation. Sandrine vainc même sa peur
et s’octroie un soupçon d’estime en entrant à l’université pour acquérir
les concepts théoriques de l’Ingénierie de la formation pour adultes.
Un déclic. Voilà qu’elle se plaît à apprendre et s’entête d’un défi
fou : étudier pendant six ans pour devenir psychologue.
Quel est le sens de votre activité ? Pourquoi la menez-vous ?
Je suis psychologue du travail et des risques psychosociaux, puis psychothérapeute et instructrice en méditation pleine conscience (MBCT). Quand je ne reçois pas en consultation individuelle, enfants, adolescents et adultes, je dispense des formations en lien avec le monde du travail et je co-anime le protocole médical MBCT avec un médecin psychothérapeute. Enfin, je suis régulièrement en entreprise pour des permanences psychologiques.
Je suis heureuse d’exercer ce métier car il a été choisi, désiré. Il y a de belles rencontres où la résonance des cœurs opère, où la co-construction thérapeutique s’installe pour créer des moments d’échange dans l’écoute active et la bienveillance.
Racontez-nous le(s) déclic(s) qui vous a/ont poussée à entreprendre et les conseils que vous distilleriez à celles qui n’osent pas encore franchir le cap ?
Le déclic le plus important a été le refus d’avoir des regrets et le désir de me réaliser. Pour avancer dans un projet, je conseille d’adopter la technique « des petits pas », y croire, être à l’écoute de ses besoins pour traiter les peurs qui encombrent, qui empêchent … Être curieuse, poser des questions, demander de l’aide, aller à la rencontre de ses rêves, de qui l’on est pour réveiller les potentiels en sommeil.
Au quotidien, quelles sont vos astuces pour perdurer et affronter les défis ? Comment le réseau Femmes des Territoires est-il un outil supplémentaire ?
Durant mes études, j’ai voulu abandonner une fois, peut-être deux, puis la motivation, les raisons pour lesquelles je voulais atteindre cet objectif, les encouragements de l’entourage (très important) et le désir profond de vouloir exercer ce métier m’ont amenée à poursuivre au prix de nombreux sacrifices. Aujourd’hui, le sport participe à mon équilibre, il me permet d’évacuer les souffrances qui ne sont pas les miennes. Je peux ainsi être dans l’accueil et l’écoute.
Le partage de compétences est un acte social important dans notre société, il pourrait permettre d’aider ceux qui n’ont pas beaucoup de revenus et ils sont nombreux.
C’est un mantra qui ne l’a jamais quittée. Donner du sens à ce qu’elle entreprend. Sans diplôme, Sandrine Benizri Canal est jeune quand elle affronte le marché du travail pour la première fois. Des petits boulots. Puis une rencontre, et surtout une preuve de confiance, la mettent sur le chemin du conseil en formation. Un poste qu’elle occupe sept ans durant au sein d’un organisme de formation. Sandrine vainc même sa peur et s’octroie un soupçon d’estime en entrant à l’université pour acquérir les concepts théoriques de l’Ingénierie de la formation pour adultes. Un déclic. Voilà qu’elle se plaît à apprendre et s’entête d’un défi fou : étudier pendant six ans pour devenir psychologue.
Quel est le sens de votre activité ? Pourquoi la menez-vous ?
Je suis psychologue du travail et des risques psychosociaux, puis psychothérapeute et instructrice en méditation pleine conscience (MBCT). Quand je ne reçois pas en consultation individuelle, enfants, adolescents et adultes, je dispense des formations en lien avec le monde du travail et je co-anime le protocole médical MBCT avec un médecin psychothérapeute. Enfin, je suis régulièrement en entreprise pour des permanences psychologiques.
Je suis heureuse d’exercer ce métier car il a été choisi, désiré. Il y a de belles rencontres où la résonance des cœurs opère, où la co-construction thérapeutique s’installe pour créer des moments d’échange dans l’écoute active et la bienveillance.
Racontez-nous le(s) déclic(s) qui vous a/ont poussée à entreprendre et les conseils que vous distilleriez à celles qui n’osent pas encore franchir le cap ?
Le déclic le plus important a été le refus d’avoir des regrets et le désir de me réaliser. Pour avancer dans un projet, je conseille d’adopter la technique « des petits pas », y croire, être à l’écoute de ses besoins pour traiter les peurs qui encombrent, qui empêchent … Être curieuse, poser des questions, demander de l’aide, aller à la rencontre de ses rêves, de qui l’on est pour réveiller les potentiels en sommeil.
Au quotidien, quelles sont vos astuces pour perdurer et affronter les défis ? Comment le réseau Femmes des Territoires est-il un outil supplémentaire ?
Durant mes études, j’ai voulu abandonner une fois, peut-être deux, puis la motivation, les raisons pour lesquelles je voulais atteindre cet objectif, les encouragements de l’entourage (très important) et le désir profond de vouloir exercer ce métier m’ont amenée à poursuivre au prix de nombreux sacrifices. Aujourd’hui, le sport participe à mon équilibre, il me permet d’évacuer les souffrances qui ne sont pas les miennes. Je peux ainsi être dans l’accueil et l’écoute.
Le partage de compétences est un acte social important dans notre société, il pourrait permettre d’aider ceux qui n’ont pas beaucoup de revenus et ils sont nombreux.
Contacter et suivre Sandrine BENIZRI CANAL Mail : canalsandrine@yahoo.fr