Céline Schertzer
Née en Alsace, Céline Schertzer a posé ses valises en Bretagne en 2021, laissant enfin parler ses intentions profondes en créant S.O.I. Ex-conseillère en insertion professionnelle, coordinatrice Femmes de Bretagne à La Roche Bernard, elle accompagne aujourd’hui tous ceux qui souhaitent redéfinir leur projet de vie, rééquilibrer leurs énergies, se nettoyer d’émotions transgénérationnelles et renouer avec le bien-être du corps et de l’esprit. Rencontre.
Sur quoi repose votre pratique ?
Il s’agit d’une méthodologie unique qui m’a été prodiguée par l’invisible. Je me suis formée au Reiki, au chamanisme et m’instruis en permanence par le biais de lectures. A l’aide d’un pendule, j’identifie les pistes sur lesquelles agir et grâce au magnétisme, je pratique le soin. Celui-ci s’accompagne parfois de pierres ou de guides de l’invisible, animaux totems, anges, archanges et dragons. Les dragons sont des énergies supérieures et très puissantes qui peuvent m’accompagner dans le nettoyage énergétique des personnes et/ou des lieux : habitation et travail.
Quels sont les besoins auxquels vous répondez ?
En séances individuelles et ateliers collectifs, j’amène mes clients sur le chemin de la guérison. Lorsqu’ils sentent que quelque chose ne va pas mais sur lequel ils n’ont pas la maîtrise. Quand certaines émotions sont trop dures à gérer, que le corps et l’esprit ne sont plus en phase. Parfois, il peut s’agir d’un blocage transgénérationnel. J’interviens alors et propose des outils afin de rendre mes clients autonomes. La recherche est avant tout celle de l’équilibre énergétique. Je suis cartésienne à la base, quelqu’un de très rationnel. Alors, dans ma pratique d’énergéticienne, je propose un chamanisme pragmatique.
Comment travaillez-vous ?
Je travaille sur photo, à distance, et je demande à mes clients de ne pas être parasité pendant la séance : pas de smartphone, pas de visio, pas de zapping télé. Certains font une marche sur la plage, une balade en forêt ou prennent un bain de soleil… Je rentre alors en connexion avec l’énergie de la personne. Je note tout ce que je ressens et identifie. Je fais ensuite le point à la fin de la séance, par téléphone ou visio, avec un compte rendu par mail des origines du ou des blocages, identifiés grâce à mon pendule et le travail sur planche « silhouette ».
Comment ce « don » vous est-il arrivé ?
Ce don vient de la naissance, mais je l’ai mis de côté pendant des années, depuis l’adolescence, pour pouvoir m’intégrer dans la société. En 2005, l’invisible est revenu à moi par le biais d’un événement. Je vivais avec une colocataire qui était partie en voyage en Afrique. A son retour, elle m’a offert un objet. J’ai été malade aussitôt. J’ai perdu 8 kg en une semaine. J’ai pris rendez-vous avec mon énergéticienne qui m’a dirigé vers quelqu’un d’autre pour supprimer la magie noire liée à cet objet. Nous avons tout nettoyé et brûlé l’objet. Depuis, je sais qu’il m’est possible de me connecter avec l’invisible.
Qu’est-ce qui vous anime dans votre pratique ?
Mon ambition est de rendre la magie de l’invisible accessible. De permettre aux gens d’aller mieux, de ressentir un bien-être, d’harmoniser les lieux, et de leur donner la possibilité d’être autonome dans cette quête grâce à des outils pratiques et pragmatiques. Je suis toujours vigilante avec l’invisible. L’achat d’un pendule, par exemple, n’est jamais anodin. Il doit être entretenu régulièrement. Peu importe l’outil, les thérapeutes doivent avoir conscience que les énergies se véhiculent.
Comment articulez-vous votre vie professionnelle et la coordination de Femmes de Bretagne à La Roche Bernard ?
Au départ, j’étais en binôme avec Sophie Marquet. Aujourd’hui, je coordonne l’antenne soutenue par Maria Perrin. En Ardèche, je codirigeais un collectif de femmes dont le but était de promouvoir les femmes en milieu rural. Les valeurs ont raisonné avec mon activité en Sud Morbihan. Nous nous réunissons une fois par mois pour un atelier technique ou bien-être de la dirigeante et un moment convivial. Piloter son entreprise, gérer la charge mentale, Quels réseaux social choisir ? sont quelques-uns des sujets qui sont abordés. Je connais l’importance du réseau dans l’évolution de son activité. Faire se rencontrer les femmes dirigeantes et les faire échanger dans un cadre convivial et bienveillant est ma priorité. J’aime ainsi contribuer à développer cette intelligence collective.